Une jolie claire

Récit fictif malheureusement

Je me balade dans un centre commercial près de chez moi quand je vois une femme portant énormément de sacs.

Je me dis qu’il faut aller l’aider mais j’ai peur de passer pour un gros lourdaud.

Je m’assoie sur un banc non loin de là pour l’observer de loin.

Et là, d’un coup son regard croise le mien. Elle me sourit et moi aussi.

Elle se dirige vers moi manquant de tomber avec tous ses sacs.

Je la rattrape avant qu’elle bascule. En relevant sa tête, nous sommes les yeux dans les yeux

En la tenant par la main, je l’accompagne vers le banc où j’étais assis. Elle se pose et me demande :

« – Pourquoi vous m’avez regardé ainsi ?

– J’avais envie de vous aider mais j’avais peur que mes intentions soient mal comprises.

– C’est vrai que je me méfie de ce genre de proposition. Il y a souvent des sous-entendus derrière ceux-ci.

– Oui c’est sûr. Vous avez raison de faire attention. Puis-je vous tutoyer si cela ne vous dérange pas .

– ,Oui pas de soucis. Quelle est ton nom ? Moi, je m’appelle Claire.

– Cool. Moi, c’est Mathieu. Ravi de faire ta connaissance. »

Nous restons là à parler un long moment jusqu’à la fermeture du centre. AvAnt de la quitter, je l’aide à mettre toutes ses courses dans sa voiture. Nous échangeons nos numéros car nous avons adoré notre discussion.

Nous échangeons beaucoup pendant des semaines. On apprend à se découvrir. Avec nos emplois du temps et nos vies, on ne peut pas se voir.

Un attachement certain se fait naturellement sans même que l’on s’en rende compte.

On parle de nos envies souvent très communes, de nos blessures personnelles… L’envie de se revoir se fait de plus en plus intense.

Finalement, malgré nos plannings très chargés, nous trouvons un créneau pour nous voir enfin.

Je suis très nerveux car Claire est si belle que j’ai peur de faire les choses maladroitement. Dois-je l’embrasser ? Lui faire la bise ? La prendre dans mes bras ?

Je ne sais pas .

Écrire derrière mon écran est beaucoup plus facile. Ma timidité pourrait refaire surface très vite.

On convient de se retrouver sur Paris car elle y travaille. Avant de la rejoindre, je passe chez un fleuriste pour lui prendre une douzaine de roses.

Les fleurs ont double sens. Maintenant après nos discussions, ce qui me rend rouge comme les roses au moment de payer.

J’arrive enfin à notre point de rendez-vous. Je la vois arriver au loin. Je fonds comme lors de notre première rencontre.

Elle sourit en me voyant, ce qui illumine son si beau visage. Le vent passe dans ses cheveux même à cette distance, je distingue ses si jolis yeux.

Elle arrive enfin face à moi. Je ne réfléchis pas. Je pose mes lèvres sur les siennes. Elle n’a pas l’air surprise car je lui avais déjà dit mon envie de l embrasser.

Elle me rend mon baiser et met une de ses mains dans la mienne. Nous restons ainsi sur le trottoir comme si le temps s’était arrêté.

Je décolle mes lèvres un instant pour lui tendre le petit bouquet de roses. Elle les sent et devient aussi rouge que je le suis.

Nous éclatons de rire. Nous avons pratiquement la même timidité. Nous le disons en même temps : Je savais que j’allais rougir devant toi.

On se prend dans les bras tous en caressant nos cous respectifs.

Ce qui nous fait tous les deux nous mettre à frissonner.

Nos lèvres se rapprochent à nouveau comme si elle ne voulait plus se décoller l’une de l’autre.

Je la prend par la main pour une petite balade dans un parc non loin de là.

Je ne veux pas la lâcher. On s’embrasse tout le long du chemin. Malgré le temps, on ne ressent pas le froid. Il faut dire que nous sommes beaucoup l’un contre l’autre.

Arrivés dans le parc, je dépose ma veste pour que nous nous asseyons dessus. Nous finissons vite allongés à nous caresser nos visages entre deux baisers.

Mes doigts descendent petit à petit de son visage pour atteindre sa poitrine.

Je guette sa réaction, je la regarde dans les yeux. Sa seule réponse est son magnifique sourire.

Elle aussi commence à passer ses mains sur mon torse. Même avec toutes nos couches de vêtements nous ressentons notre excitation respective.

Pour être plus clair, nous pointons tous les deux. Elle remarque très vite que j’ai très froid.

Elle s’aperçoit que je frissonne donc elle me colle contre elle pour partager sa chaleur. Je lui dit :

« – Ma Claire, si tu savais comme j’en ai rêvé de ce moment contre toi. Tu me fais fondre.

– Mon Mat, c’est toi qui me fait fondre. »

On reste ainsi, enlacés, pendant des heures. Du moins, c’est mon impression puisque la nuit tombe.

Je lui propose de manger un bout avec moi car je ne veux pas la quitter. Elle me sourit et me fait un dernier petit bisou avant de se lever.

On mange un petit truc sur le pouce. On ne tiens pas vraiment en place, j’ai plein d’idées dans la tête.

J’ai envie de passer toute ma nuit dans ses bras. Elle me vois pensif et me demande pourquoi. Je lui avoue mon désir et me dit qu’elle ressent exactement la même chose.

On cherche sur nos téléphones un endroit où l’on pourrait rester l’un contre l’autre toute la nuit. On trouve un petit hôtel non loin de là.

On se sourit et on se dirige vers celui-ci main dans la main.

Arrivés à l’hôtel, on demande une chambre sans se soucier des regards inquisiteurs des clients. On continue à nous embrasser tendrement.

Une fois la chambre prise, nous montons aussi nerveux l’un que l’autre ne savant pas ce que va être la suite .

Une fois sur le pas de la porte, nous commençons déjà à nous déshabiller. Maintenant dans la chambre déjà en petite tenue.

Tout en continuant à l’embrasser, je fais glisser le petit morceau de dentelle blanche qui cache une merveilleuse petite fleur dont je rêve depuis des semaines.

Je joue avec mes doigts en les passant entre ces délicats pétales. Je la sens frémir sous mes doigts.

Au point de lâcher mes lèvres pour me dire à l’oreille qu’elle a envie que l’ongle joue aussi avec sa petite fleur.

Ainsi que sa rose sur laquelle elle guide mon autre main,j’en profite pour caresser sur les chemins ses jolies pommes d’amour .

Peu après, je descend lentement le long de son corps tout en explorant les moindres parties avec ma langue et mes dents sur deux parties très saillantes.

Je m’y attarde, passant ma langue autour, les mordillant ainsi que les pinçant tout en douceur car je sais qu’elle n e prend pas de plaisir avec la douleur.

Je me remets en marche en m’arrêtant légèrement sur son nombril.

Une fois devant sa fleur, je l’admire tel une œuvre d’art digne d’un musée. Puis, je lève les yeux tous en plongeant dans les siens, je fais glisser ma langue entre ses pétales.

Je décris des cercles à l’entrée de sa fleur tout en même temps avec l’une de mes mains, je découvre son petit bouton que je caresse en douceur.

Ce qui la fait chavirer, je la retiens avec une main et la fait s’asseoir sur le lit ou plutôt s’allonger pour être plus à l’aise.

Je reprends mon office. Je déguste sa fleur, je la caresse, introduis mes doigts entre ses pétales pendant que ma langue tourne autour de son bouton.

Son corps commence à trembler et très vite, je sens couler son nectar entre mes doigts

Je ne peux résister. Je le goûte, je m’en délecte. Ma petite Claire commence à hurler et me dit de continuer elle resserre ses jambes manquant de m’étouffer.

Puis elle m’attrape par la barbe pour porter mon visage à sa hauteur. Elle m’embrasse tendrement tout en faisant descendre avec son autre main sur mon Boxer.

Maintenant nu sur elle, elle me sent me raidir contre son corps. Elle appuie ses fesses contre moi pour se coller encore plus à moi.

N’en pouvant plus, elle me retourne et se met à califourchon sur moi en se servant de ma tige tendue comme dossier.

Tout en continuant à m’embrasser, elle la guide en elle, je la sens passer entre ces pétales encore très humide pour enfin être en elle.

Elle décrit des petit mouvements de reins, je l’accompagne en mettant mes mains sur ces jolies poires si douces.

Ses mouvements se font de plus en plus rapides. Son nectar coule sur ma tige. Celle-ci ne devient que plus raide avant de ne plus tenir. Je me retire afin de changer de position.

En se relevant, elle me dit qu’elle aimerait des petites tapes sur ses pommes pendant que ma tige elle dans sa rose que je commence à caresser du bout de mes doigts

Mes doigts entrent dans sa rose aidés par son doux nectar. Comme ma tige très peu de temps après pratiquement entièrement.

Avec mes mains, je tapote ses jolies pommes dans le même rythme que mes mouvements de bassin.

Je sens son nectar couler de plus en plus et ma tige commence à se contracter. Notre plaisir expose à l unisson.

Nous nous écroulons dans les bras l’un de l’autre tout en nous embrassant tendrement.

Nos corps restent enlacés pendant des heures avant que l’heure de notre séparation sonne.

C’est un vrai déchirement. Nous ne voulons pas nous quitter. On s’embrasse une dernière fois à l’entrée de son métro.

Je la vois partir le cœur serré avec des yeux remplis d’amour avec qu’une hâte : la revoir au plus vite.

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